© 2000
Cette année, et avec elle toutes les extrémités du siècle est extrêmement défavorable pour la Russie en termes géopolitiques. A l’ouest et au sud des événements se sont produits si aggravé la situation internationale, que maintenant il est devenu évident pour tous.
« Le monde est devenu différent après le Kosovo! » – un cri de l’un des commentateurs politiques ont exprimé l’opinion de beaucoup. Le choc provoqué par l’attaque de l’OTAN sur la Yougoslavie a remplacé un aperçu. Illusion de paix de l’Ouest et qu’elle était prête à examiner les intérêts de la nouvelle Russie démocratique, espère un mouvement général vers une Europe unie finalement effondrée.
Les effets négatifs de la politique occidentale actuelle la Russie est amplifiée pour les processus historiques puissants qui sont considérés comme naturels.
Pas dans le temps, au moins en partie, de normaliser la situation dans les Balkans, au Daghestan et en Tchétchénie a éclaté un conflit lié à une autre source constante de danger est déjà sur les frontières sud de la Russie.
Il est temps de réexaminer la situation géopolitique. Ceci est d’autant plus important que la dynamique de la situation internationale devient de plus en plus alarmante pour la Russie.
Je
promotion puissante de l’OTAN dans l’ouest à l’est, dans la direction de la Russie – un fait inquiétant. A deux reprises au cours de ce siècle, la Russie ont été pris au dépourvu l’agression étrangère émanant de l’Occident. Il serait négligent d’ignorer ce danger une fois de plus.
L’attaque actuelle de la Yougoslavie était sans aucun doute un événement marquant. Et en 1914 et 1941. après l’agression contre les Serbes a suivi l’invasion de notre pays. Cette séquence est expliquée par la logique géopolitique traditionnelle: l’expansion dirigée de l’Europe centrale à l’est, profondément dans l’espace eurasien, exige la fixation préalable de l’agresseur pied des Balkans.
Mogilevkin Ilya Moiseevich, PhD, directeur scientifique IMEMO.
Именно потому, что бомбардировки Югославии и оккупация Косово не сломили окончательно сербов, борьба против них продолжается. Яростный нажим на Сербию с открытым требованием смены режима сочетается с усилиями оторвать Черногорию от Сербии и попытками дестабилизировать положение в сербской провинции Воеводина, направив ее по “косовскому” пути. Цель – развалить югославскую федерацию, низвести Сербию до положения изолированного от моря слабого государства, легко блокируемого в любой момент. Как функционирует этот механизм безнаказанной блокады было недавно продемонстрировано, когда наши недавние “братья” – Венгрия, Румыния и Болгария отказались предоставить воздушные коридоры для самолетов с российскими миротворцами, ссылаясь на необходимость получить разрешение руководства НАТО. Еще раньше США объявили нефтяную блокаду Югославии. При этом американские официальные лица прямо угрожали применить силу, если танкеры с российской нефтью будут направлены в югославские порты. Тем самым в очередной раз было продемонстрировано прямое пренебрежение к международному праву, которое рассматривает блокаду портов или берегов государства как акт агрессии.
Les Etats-Unis et les autorités de l’OTAN de prendre ces mesures afin d’atteindre les objectifs stratégiques – étendre sa domination sur la Yougoslavie, de prendre pied dans les Balkans pour tête de pont expansion à l’est.
La stratégie de « vers l’Est » à l’aide des moyens militaires est historiquement connue. Dans ce siècle, il a reçu une justification théorique dans les écrits d’un certain nombre de Géopolitique occidentaux bien connus, et dans la pratique, il tente de mettre en œuvre le premier Kaiser Wilhelm II, puis Hitler au cours des deux guerres mondiales.
Au cours de la dernière décennie, et la science géopolitique et la pratique ont été développées qui se traduit par l’expansion du complexe, qui est maintenant fait de l’OTAN.
Caractéristiques et formes de cette « Drang nach Osten » réside dans le fait que l’expansion se fait vigoureusement, en masse, sur un front large le long des limites du périmètre de la Russie européenne de l’océan Arctique et la mer Baltique à la mer Noire, plus loin – dans le Caucase et en Asie centrale. Dans ce cas, la pénétration profonde dans l’ex-Union soviétique est en train de devenir une pratique courante. Définir les moyens et les méthodes de cette attaque puissante de politique sans précédent, militaire, économique, information, spécial. Tous les nouveaux pays rapidement inclus dans le bloc atlantique et de leur transformation simultanée, comme l’a confirmé par les événements dans les Balkans, dans les satellites dociles des États-Unis.
Quelles sont les principales orientations de développement de l’offensive contre la Russie, et quel est-il exprimé?
Sur notre bloc au nord-ouest de l’OTAN après l’inclusion dans les rangs de la Pologne contrôle fermement toute la côte continentale de l’Europe de l’Atlantique à nos frontières. La Russie a en fait poussant (après l’effondrement de l’URSS) de la mer Baltique, à l’exception du golfe de Finlande et le gel progressivement « se éloigne » du reste de l’enclave de Kaliningrad du pays, il est très vulnérable.
L’expérience pratique montre comment cette atténuation peut être utilisé contre la Russie: de « pression douce » (augmentation des tarifs de transport et les frais, l’introduction des limitations techniques, telles que la Baltique) jusqu’à ce que le blocus de puissance raide. Ce dernier est facilement réalisée, comme toutes les entrées de la mer Baltique et les aboutissants de celui-ci, y compris le Skagerrak et le Kattegat, sont les pays de l’OTAN, et peut être instantanément bloqué. De plus, compte tenu de l’équilibre actuel des forces dans cette région, même le cabotage dans la partie orientale de la Baltique deviendra impossible, ce qui signifie, au minimum, un blocus complet dans ce domaine. , Vous devez également garder à l’esprit que la situation dans le Nord-Ouest russe est liée à la situation sur le flanc nord de cette tendance – en Scandinavie, dans les norvégiens et la mer de Barents.
L’expansion du bloc atlantique dans le nord-ouest est non seulement un front assez étendu, mais aussi une grande activité en utilisant une variété de méthodes et de formes.
adhésion de la recherche Vigoureusement les Etats baltes à l’OTAN, les pays occidentaux coopèrent même avec les forces politiques locales, qui sont associés à d’anciens nazis. histoire Scandalous avec des défilés SS, réinhumation solennelle des criminels de guerre est aucune condamnation des pays occidentaux démocratiques et civilisés, qui fixent des objectifs de son expansion à l’est au-dessus de la morale conventionnelle. Dans ce contexte, l ‘ « exportation » de l’étranger en Lettonie et en Lituanie, le président actuel ressemble à une farce politique, bien qu’en réalité ce fait, d’une part, montre le degré de dépendance des Etats baltes de Washington, de l’autre – une mesure de la participation des États-Unis (Politique OTAN) de travailler à renforcer ici son pied.
La particularité de l’expansion occidentale à l’est le plus complet se révèle par rapport au Bélarus. Cette république après l’effondrement de l’Union soviétique et de l’absorption de la Pologne bloc atlantique est devenu une sorte de « dernier obstacle » pour sortir directement de l’OTAN à la frontière russe sur le plus important, la direction de l’ouest. Il est en ce sens a eu lieu dans le passé, le chemin des conquérants, qui ont fait une invasion de l’ouest, en essayant de percer profondément dans le centre de la Russie, Moscou.
Le désir de l’Occident d’étendre son contrôle au Bélarus – une partie du plan visant à établir une union de la mer Baltique Noire qui est de couvrir une Russie en demi-cercle géant, en prenant toute sa part européenne dans les « tenailles de fer. » Si elles ne sont pas encore réussi à le faire, en grande partie grâce à la Biélorussie. Toutefois, si le Bélarus, qui attend le sort de l’élément central des « pinces » la mise en œuvre géopolitique résistant du plan, au sud, au sud-ouest, la situation est plus alarmante.
Dans la direction sud-ouest lors de la désintégration de la frontière d’Etat de l’URSS a été déplacé de la rivière Prut aux cours supérieur du Donets du Nord, à Belgorod. En conséquence, les frontières de la Russie ont été poussant à Moscou près de la moitié de la distance précédente. Russie sur la mer Noire, où le plus important trafic marchandises à l’exportation et à l’importation a été partie limitée du détroit de Kertch à Adler. En plus de la défense avait de graves transports économiques et connexes et des problèmes de communication.
Dans ces conditions difficiles sur la Russie est une forte poussée dans le but exprès de déplacer notre pays de cette vaste région.
Principalement utilisé les ressources politiques et économiques afin de maximiser l’Ukraine de la Russie aliéner, de persuader l’Ukraine de tenir des politiques de plus en plus pro-occidentaux, de les associer à une coopération étroite avec l’OTAN. Dans ce cas, les États-Unis ne cachent pas leurs intentions à l’égard de l’Ukraine. Zbigniew Brzezinski, dont le travail est d’intérêt principalement au fait que les opinions exprimées dans les prévalant dans l’establishment américain,
dans son dernier livre « Le Grand Echiquier » , dit – il: « … entre 2005 et 2010 … L’ Ukraine devrait être prêt pour des négociations sérieuses à lafois l’Union européenne et l’ OTAN » [2] la mesure dans laquelle la situation actuelle prouvé la théorie insuffisante elle – même?
– Quelle a été l’utilisation erronée de la situation géopolitique dans la pratique?
Les réponses à ces questions devraient contribuer à l’élaboration de la nouvelle stratégie pour la Russie afin de sortir le pays de la situation spatiale difficile.
Ces arguments montrent que, en fait, des raisons négatives ont joué un rôle fatal dans certaines circonstances, à des degrés divers.
lutte active de la Russie soviétique – l’Union soviétique sur la scène mondiale dans la première moitié du siècle a touché plus de succès en raison d’un certain nombre de facteurs importants. Tout d’abord, l’état d’esprit révolutionnaire des travailleurs et des intellectuels dans les pays industrialisés, ainsi que la lutte nationale dans les colonies ont créé une atmosphère de solidarité avec les « conseils » dans la plupart des pays. Un autre facteur important qui est généralement ignoré, est le fait que la direction soviétique, au moins, après son arrivée au pouvoir IV Staline, en soutenant apparemment les slogans « globaux » et la réalisation très large dans les politiques spatiales, en fait, a agi avec prudence et de façon pragmatique, en poursuivant des objectifs réalisables seulement. Il est cette « politique comme l’art du possible » a fourni un certain nombre de réalisations tout en succès.
Après la Seconde Guerre mondiale, croyant sérieusement dans le fait que la perspective de la « victoire du socialisme dans le monde » est réel, la direction soviétique dirigée à la réalisation de ce fonds énormes objectifs, qui est saigné le pays pour des chimères ambitieux de domination mondiale.
G « Cependant, dans la période d’après-guerre, tout le cours du développement mondial a démontré la valeur toujours croissante du facteur temps (temporel) et son lien indissoluble avec le facteur spatial. Peu à peu, il est devenu clair que l’ancien, » classique «
option géostratégie devrait être remplacé par de nouvelles approches, de nouvelles positions théoriques. Toutefois, étant donné que ces considérations ne sont toujours pas reconnus dans la politique internationale
grandes puissances ont continué à être guidé par l’installation précédente, les recettes suivre
rapidement cours théorique pas à jour a apporté une stratégie de politique étrangère arrêt de l’URSS. Maintenant, les États-Unis répète le même chemin, cherchant à renforcer son « dominer le monde », et vigoureusement une politique étrangère qui peut conduire à des conséquences catastrophiques en Eurasie. Pour sa part,
Russie (anciennement l’URSS) ne refuse pas de la volonté de créer, sinon un « bloc continental » sous une forme « axe continental ». En principe, il continue d’être tout à fait correcte déclaration de principe, cependant, il n’a pas été possible de mettre en œuvre dans la pratique.
L’expérience acquise dans notre pays est étroitement associé à deux caractéristiques de profilage de sa géostratégie – À l’échelle mondiale, les activités de politique étrangère et les méthodes de stabilisation de la situation en Eurasie, grâce à la consolidation des relations entre les Etats de l’Europe centrale vers le Pacifique, il devrait être utilisé dans un avenir prévisible.
Adhérant à l’approche purement spatiale, il est possible d’identifier un certain nombre de questions présentant un intérêt particulier à l’amélioration de la situation géopolitique dans laquelle la Russie se trouve. tout d’abord il est important de comprendre les facteurs qui pourraient neutraliser l’influence des forces négatives.
Même dans l’étude de la géopolitique des États-Unis dans le cadre strict des sujets spatiaux a révélé un certain nombre de défauts inhérents. La principale est qu’il est contraire aux intérêts nationaux des pays d’Europe centrale et orientale. « La tâche la plus importante » de la stratégie américaine – établir leur domination dans l’ex-Union soviétique avec l’effondrement présumé de la Russie dans plusieurs états et la sortie des États-Unis, à la suite d’une telle « mars forcée » aux frontières nord de la Chine – hardiment conçu, sinon fringant. Cependant, l’offensive de l’OTAN à l’Est va inévitablement conduire à une confrontation dangereuse entre bloc européen des Etats membres et de la Russie, qui soutiendra la Biélorussie et, apparemment, un certain nombre d’autres Etats. L’Europe est non seulement un « split » en deux camps, mais encore une fois face à un risque réel d’un conflit majeur. Cette situation est particulièrement contraire aux intérêts fondamentaux de l’Allemagne.La confrontation avec l’Orient entraverait la possibilité de l’Allemagne réduira son rôle dans l’unification de l’Europe, en fin de compte, il sera plus dépendant des États-Unis et de l’influence britannique.
Le second fait important est très dangereux pour le sort de l’Europe étrangère, en raison du fait que tout affaiblissement de la Russie et son influence sur l’espace post-soviétique libère la voie vers l’Europe centrale et d’autres pays sur le continent pour les puissants ethnique et « idéologique » (selon la terminologie de Brzezinski) l’invasion du Sud. En un mot l’Europe est déjà connu, et continue de souffrir en raison de sa politique yougoslave. Flux de réfugiés albanais, des centaines de milliers d’immigrants ont ajouté aux millions d’immigrants en provenance des Balkans, les pays d’Asie et d’Afrique ont déjà rempli le continent européen. L’Europe est confrontée à une menace réelle de perdre leur identité culturelle et historique. Cette perspective de transformer l’Europe dans les colonies d’Asie et d’Afrique augmentent énormément,
Il semble qu’en Europe, beaucoup commencent à comprendre les dangers posés par les suivants obéissant à la suite de la politique américaine. Les résultats des élections à la Diète des sept états allemands ont montré une insatisfaction claire avec les électeurs allemands la politique allemande en Yougoslavie.
Ainsi, il y a une opportunité fondamentale pour parvenir à une meilleure compréhension mutuelle entre la Russie et l’Allemagne, principalement parce que les intérêts à long terme autochtones du pays résident dans le maintien de la stabilité sur le territoire russe et en collaboration avec la Russie, de ne pas renouveler la confrontation.
D’autres éléments importants dans le processus de stabilisation de la direction de l’ouest serait, tout d’abord, l’achèvement de l’association avec la Biélorussie et la convergence avec la Yougoslavie.
Sur le « front sud » de la mer Noire à la République kirghize, il y a un certain nombre de pays intéressés par la situation d’apaiser dans la région et sont en mesure de prendre part à sa normalisation.
Ainsi, sur les problèmes de la mer Caspienne et les régions environnantes ont beaucoup en commun dans les approches de la Russie et de l’Iran. Les deux pays sont conscients de la nécessité de résoudre et en Afghanistan, où les forces des talibans insurgés, soutenus activement par le Pakistan, mènent une guerre contre le gouvernement de coalition légitime. L’Iran est préoccupé par le sort des chiites vivant dans les provinces limitrophes de l’Afghanistan. La propagation du fanatisme religieux et l’extrémisme en Asie centrale et la Chine est très préoccupée par qui est intéressé à maintenir la stabilité dans la région, qui borde le Xinjiang et le Tibet.
De plus, avec la Chine, il y a une base de partenariat à long terme et dans le Pacifique, l’Extrême-Orient, comme les dirigeants chinois n’a aucune illusion sur les intentions des États-Unis, des blocs avec le Japon et Taiwan. clarification complète des plans d’aménagement de l’environnement de la Chine de la Sibérie et le Primorie renforcera le désir de la Chine et la Russie à coopérer afin de préserver le statu quo territorial.
En général, donc il y a de réelles opportunités pour le développement progressif d’un système d ‘ « accord continental » de l’Europe centrale à l’océan Pacifique. Si cela est fait, l’Eurasie sera protégé contre les pires bouleversements géopolitiques. En d’autres termes, même schéma classique pur suivant peut améliorer considérablement la Russie. En même temps, nous avons consciemment abstraction des possibilités qui sont ouvertes à influencer directement les intérêts des Etats-Unis eux-mêmes en raison de défauts inhérents à leur concept globaliste géostratégique. Ceci est un sujet spécial grand.
Cependant, la Russie ne peut pas et ne doit pas être limitée à l’application dans la pratique, seuls les anciens régimes géostratégiques.
L’essence des problèmes fondamentaux auxquels sont confrontés la Russie, remonte à deux facteurs spatiaux et temporaires. La nouveauté de la situation autour de la Russie et la Russie elle-même exige de nouvelles approches. La possibilité de ces nouvelles approches se posent, en particulier dans le cadre d’une nouvelle discipline, qui traite le problème de la grande échelle à l’échelle nationale stratégie à long terme en relation étroite avec les concepts de base de l’espace et le temps. Il est sur le point metastrategii, qui peut et doit être mise au service des intérêts de la Russie *.
4 Sur les bases metastrategii voir plus de l’auteur « ME et MO » numéro 8. 1996; 11 № 1997 et №6, 1999.
[2] B. Razuvaev. Le jeu de dames d’une manière scientifique. Sept caractéristiques de la littérature géopolitique actuelle ( « journal indépendant » 17.12.98).
[3] Zb. Brzezinski. Plan de match: un travail de cadre géostratégique pour la conduite des États – Unis. – Concours soviétique. NY 1986, p. 131.